SURTITRE : [TEST] Page de contenu

CHAPEAU : Découvrez comment notre plateforme simplifie l'intégration et la gestion de votre contenu pour la communication de votre site. À travers des outils intuitifs et puissants, vous pouvez mettre à jour vos informations en temps réel et personnaliser l’affichage selon vos besoins.

Publié le – Mis à jour le

Les accès rapides vous permettent un renvoi vers des pages internes ou bien vers des sites externes. Il vous faudra sélectionner des icônes en rapport avec le renvoi que vous souhaitez exécuter.

Une gamme de pictogramme vous est déjà accessible dans la médiathèque.

Les contacts (plus bas) vous permettent de faire remonter des fiches annuaires que vous auriez préalablement renseigné. Cela vous permet de vous créer une base de données dans laquelle piocher pour faire remonter des informations tel qu’un numéro de téléphone ou un email.

Contact 30%

Les boutons vous offrent un moyen plus attractif de rediriger vos utilisateurs vers des sites externes.

À l’affiche

Événements 100%

Les blocs de contenus liés publication / actualité / évènement

Vous pouvez programmer de la remontée automatique au sein de vos pages de contenu froid.

Cela se fait par le bien de la sélection d’un thématique.

Exemple : vous vous trouvez au sein de la rubrique “culture” de votre site et vous souhaitez offrir à votre internaute la possibilité d’avoir en visu les dernières actualités ou derniers évènements créés. Il vous suffit de faire remonter automatiquement, tous les éléments tagués “culture”

Événements 30%

Structure 100%

Structure 30%

Structure 70%

Audio99

Chiffres-clés à bâtons

  • Titre lorem ipsum dolor sit amet

    9 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 2

    45 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 3

    30 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 4

    65 %

Chiffres-clés à bâtons

  • Titre lorem ipsum dolor sit amet

    9 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 2

    45 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 3

    30 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 4

    65 %

Chiffres-clés à bâtons

  • Titre lorem ipsum dolor sit amet

    9 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 2

    45 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 3

    30 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 4

    65 %

Chiffres-clés à bâtons

  • Titre lorem ipsum dolor sit amet

    9 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 2

    45 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 3

    30 %
  • Titre lorem ipsum dolor sit amet 4

    65 %

Bon à savoir

Le budget des vacances accordés à l’espace jeune par “classe” était de 50 euros. Voici les dépenses des différentes classes.

Total : 149 € Dépensé

  • 25,5 € Dépensé
  • 49 € Dépensé
  • 40 € Dépensé
  • 35 € Dépensé

Chiffres-clés

Reprehenderit voluptate sunt ea adipisicing non in anim veniam. Enim quis dolor proident ex excepteur do ut deserunt. Consectetur duis veniam ut deserunt occaecat aliqua reprehenderit cillum et. Fugiat aute magna fugiat minim fugiat consectetur veniam anim. Deserunt laborum do reprehenderit qui mollit ex magna nulla ut voluptate.

  • 30% de voies vertes
  • 20% de route pavées
  • 50% de route goudronnées

Chiffres-clés

Reprehenderit voluptate sunt ea adipisicing non in anim veniam. Enim quis dolor proident ex excepteur do ut deserunt. Consectetur duis veniam ut deserunt occaecat aliqua reprehenderit cillum et. Fugiat aute magna fugiat minim fugiat consectetur veniam anim. Deserunt laborum do reprehenderit qui mollit ex magna nulla ut voluptate.

  • 30% de voies vertes
  • 20% de route pavées
  • 50% de route goudronnées

Chiffres-clés

répartition dReprehenderit voluptate sunt ea adipisicing non in anim veniam. Enim quis dolor proident ex excepteur do ut deserunt. Consectetur duis veniam ut deserunt occaecat aliqua reprehenderit cillum et. Fugiat aute magna fugiat minim fugiat consectetur veniam anim. Deserunt laborum do reprehenderit qui mollit ex magna nulla ut voluptate.

  • 30% de voies vertes
  • 20% de route pavées
  • 50% de route goudronnées

Chiffres-clés modulable

2 320 000 €

Laborum et consequat fugiat ipsum nostrud pariatur non incididunt officia. Tempor deserunt officia non magna consectetur. Lorem est minim ex veniam velit est ullamco eiusmod tempor.

2 320 009

Irure eu officia consectetur nisi fugiat cillum dolor esse voluptate. Nisi occaecat pariatur ex et ad ipsum adipisicing ut. Consectetur fugiat cillum laborum quis aliquip exercitation excepteur enim laborum duis commodo.

Titre chiffre clé 3 blocs

  • 56 123

    Commodo aute cupidatat laborum est culpa laboris. Amet dolor id irure laboris adipisicing est nisi et. Aliquip eiusmod exercitation officia ipsum incididunt nisi.

  • 87 131

    Id officia veniam esse voluptate aute do sit. Consectetur aliqua culpa consectetur nisi non nulla do incididunt et ex fugiat irure velit ut. Ut et do ullamco labore irure irure do dolor excepteur velit labore quis.

  • 11 313

    Tempor fugiat dolore aliqua laborum adipisicing culpa consectetur proident incididunt. Sunt Lorem Lorem occaecat sit ex. Cupidatat tempor quis nostrud proident aliqua incididunt officia ex eiusmod consectetur pariatur.

Titre chiffre clé 3 blocs

  • 56 123

    Commodo aute cupidatat laborum est culpa laboris. Amet dolor id irure laboris adipisicing est nisi et. Aliquip eiusmod exercitation officia ipsum incididunt nisi.

L’accordéon peut être combiné avec un bloc pour en faire une partie intégrante, permettant ainsi de présenter de manière organisée des transcriptions textuelles de vos vidéos ou fichiers audio.

Travail en prison

Le travail est-il ouvert aux prisonniers ? Oui, une personne incarcérée peut travailler en prison même si elle n’y est pas obligée. Pour travailler en prison, la personne emprisonnée doit être classée au travail, affectée à un poste par l’administration pénitentiaire et signer un contrat d’emploi pénitentiaire. Elle est rémunérée et dispose de droits garantis à tout travailleur (par exemple : protection sociale). Nous vous présentons les informations à connaître.

Toute personne incarcérée peut travailler en prison, sous certaines conditions.

À savoir

Le fait de travailler en prison est considéré comme un effort sérieux de réinsertion et une preuve de bonne conduite. Les détenus travailleurs peuvent plus facilement accéder à une réduction de peine et/ou à une libération conditionnelle.

L’accès au travail en prison n’est pas le même pour les personnes définitivement condamnées que pour celles placées en détention provisoire.

Les conditions d’accès à un emploi en prison ne sont pas les mêmes pour les majeurs et pour les mineurs.

Un majeur définitivement condamné à une peine de prison peut travailler au sein de l’établissement pénitentiaire dans lequel il se trouve.

Un mineur âgé d’au moins 16 ans peut travailler au sein de l’établissement pénitentiaire dans lequel il se trouve.

Néanmoins, cela ne doit pas nuire aux activités d’enseignement et de formation qu’il suit en prison.

Les personnes placées en détention provisoire peuvent travailler au sein du service général de la prison.

Toutefois, elles doivent d’abord obtenir l’accord du magistrat chargé de leur dossier (par exemple : le juge d’instruction, le procureur de la République ou le président de la cour d’assises).

Pour travailler en prison, la personne incarcérée doit d’abord demander à être classée au travail.

Une fois classée au travail, elle est ensuite affectée à un poste par l’administration pénitentiaire.

Enfin, elle signe un contrat d’emploi pénitentiaire et une convention annexée à ce contrat, dans les 2 jours ouvrables suivant le début de sa mission.

Découverte du milieu professionnel avant l’obtention d’un travail en prison

Préalablement à toute demande de travail en prison, la personne incarcérée peut bénéficier d’une découverte en milieu professionnel au sein de l’établissement pénitentiaire.

Cette expérience lui permet de découvrir un métier, confirmer un projet professionnel ou initier une démarche de recrutement.

Cette découverte en milieu professionnel a une durée maximale de 5 jours.

Elle est décidée par :

  • Service pénitentiaire d’insertion et de probation

  • Structure d’insertion à l’activité économique

  • Entreprise adaptée pour les travailleurs handicapés

  • Service de l’État chargé de développer le travail et l’insertion professionnelle des personnes placées sous main de justice

  • Service de la protection judiciaire de la jeunesse (pour les mineurs).

1. Classement au travail

Pour être classée au travail, la personne incarcérée doit adresser une demande écrite au chef de l’établissement pénitentiaire dans lequel elle se trouve.

Après avoir obtenu l’avis d’une commission, le chef de l’établissement pénitentiaire rend une décision de classement au travail et la notifie à la personne incarcérée.

Cette décision précise la forme sous laquelle la personne incarcérée peut travailler (par exemple : service général de la prison).

2. Affectation à un poste de travail

Une fois classée au travail, la personne incarcérée peut demander à être affectée à un poste de travail en adressant une demande écrite au chef de l’établissement pénitentiaire.

Cette demande doit mentionner un poste qui appartient au régime sous lequel le prisonnier peut travailler (par exemple : service général de la prison).

Avant de prendre sa décision, l’administration pénitentiaire organise un entretien individuel entre la personne incarcérée et la structure de travail.

Puis, le chef de l’établissement pénitentiaire affecte la personne incarcérée à un poste. Il prend en compte l’avis de la structure chargée de l’activité de travail et les possibilités locales d’emploi.

Cette décision est notifiée au prisonnier.

3. Conclusion d’un contrat d’emploi pénitentiaire et d’une convention annexe

Après avoir été classée au travail et affectée à un poste, la personne incarcérée conclut un contrat d’emploi pénitentiaire avec la structure de travail qui l’embauche.

Attention

Pour signer un contrat d’emploi pénitentiaire, les mineurs non émancipés doivent avoir obtenu l’autorisation de leur représentants légaux (par exemple : les parents).

Le contrat d’emploi pénitentiaire comporte des mentions obligatoires qui expliquent notamment les règles propres :

  • À la période d’essai

  • À la durée du contrat ( CDI  ou  CDD )

  • À la durée hebdomadaire ou mensuelle de travail

  • Au montant de la rémunération et des cotisations sociales

  • À la suspension ou à la fin de la mission.

Il décrit également le poste de travail et, si nécessaire, les risques particuliers liés à cet emploi.

La personne incarcérée signe également une convention annexée au contrat définissant les obligations de l’établissement pénitentiaire, de la personne incarcérée et de la structure de travail, s’il ne s’agit pas de l’administration pénitentiaire.

Le chef de l’établissement pénitentiaire peut refuser le classement au travail ou l’affectation à un emploi.

Dans ce cas, la personne incarcérée peut contester ce refus en transmettant la décision du chef de l’établissement pénitentiaire, au directeur interrégional des services pénitentiaires.

Elle dispose d’un délai de 15 jours à compter de la notification de la décision de refus de classement au travail ou d’affectation à un emploi.

Le directeur interrégional des services pénitentiaires doit répondre dans un délai d’un mois.

L’absence de réponse est considéré comme un rejet du recours.

La personne incarcérée peut travailler directement pour l’administration pénitentiaire.

Elle peut également travailler pour l’agence du travail d’intérêt général et de l’insertion professionnelle (Agitip) ou pour une structure privée (entreprise ou association).

À savoir

Si elle bénéficie d’une semi-liberté ou d’un placement à l’extérieur, la personne incarcérée peut travailler pour une entreprise qui se trouve en dehors de l’établissement pénitentiaire. Cependant, chaque soir, elle devra retourner en prison.

Travail pour l’administration pénitentiaire

La personne incarcérée peut travailler au service général de la prison.

Dans ce cas, elle signe un contrat d’emploi pénitentiaire directement avec l’administration pénitentiaire et contribue au fonctionnement de la prison.

Les postes proposés peuvent être de différentes sortes : entretien des locaux ou du linge, cuisine ou plonge, travail à la bibliothèque, etc.

Travail pour l’Agitip

Le prisonnier peut travailler pour la régie industrielle des établissements pénitentiaires (RIEP). Il s’agit d’un service géré par l’Agitip.

La RIEP propose des emplois formateurs qui permettent d’acquérir des compétences dans différents domaines tels que la menuiserie, la métallerie, la boiserie ou l’informatique.

Travail pour une association ou une entreprise privée

La personne incarcérée peut conclure un contrat d’emploi pénitentiaire avec une entreprise ou une association. On parle alors de gestion déléguée ou de concession .

Gestion déléguée

Dans certains cas, la gestion de la prison est déléguée à une entreprise privée choisie par l’État.

Ainsi, cette structure organise les activités de travail (par exemple : restauration, entretien des locaux).

La personne incarcérée travaille donc au sein de la prison. Néanmoins, le contrat d’emploi pénitentiaire est conclu avec l’entreprise déléguée.

Concession

La personne incarcérée peut travailler pour une entreprise privée ou une association qui installent des ateliers de production au sein des prisons.

Les postes proposés peuvent être de différentes natures : métiers de la métallurgie, de la menuiserie, du numérique, en rapport avec l’environnement, etc.

La personne incarcérée travaille au sein de l’établissement pénitentiaire. Toutefois, le contrat d’emploi pénitentiaire est conclu avec la structure concessionnaire.

À savoir

Des entreprises adaptées aux femmes et aux hommes en situation de handicap proposent également des postes de travail en prison.

Ces personnes peuvent aussi travailler au sein d’un établissement ou d’un service d’aide par le travail.

Le contrat d’emploi pénitentiaire contient des informations sur la durée du travail et les temps de repos accordés aux personnes incarcérées.

Les règles qui concernent les prisonniers majeurs diffèrent de celles applicables aux mineurs incarcérés.

La personne incarcérée peut travailler à temps complet ou à temps partiel.

Durée du travail

La durée de travail pour un contrat à temps complet est de 35 heures par semaine et de 10 heures maximum par jour.

Les horaires de travail doivent prévoir le temps nécessaire au repos, aux repas, à la promenade et aux activités éducatives et de loisirs.

La structure de travail peut prévoir un système d’aménagement des heures de travail sur une période de référence (par exemple : un mois ou une année).

Ainsi, le prisonnier travaillera plus de 35 heures certaines semaines et moins de 35 heures d’autres semaines.

Néanmoins, la durée hebdomadaire de travail ne peut pas être de moins de 10 heures et plus de 48 heures.

Si le prisonnier effectue plus de 35 heures par semaine ou 1771 heures par an, ces heures sont considérées comme des heures supplémentaires.

S’il effectue plus d’heures que celles prévues dans le contrat d’emploi pénitentiaire, ces heures sont considérées comme des heures complémentaires.

L’accomplissement d’heures complémentaires ou supplémentaires donne lieu à une majoration de la rémunération.

À savoir

En cas de mise en place d’un système d’aménagement des heures de travail, toute modification de la répartition de la durée de travail doit être portée à la connaissance de la personne incarcérée au moins 24 heures à l’avance.

Si ce délai n’est pas respecté, la personne incarcérée peut refuser d’effectuer les heures supplémentaires ou complémentaires qui lui ont été demandées d’accomplir.

Elle ne peut pas faire l’objet d’une sanction disciplinaire. Son contrat ne peut pas être rompu pour ce motif.

Repos

La personne incarcérée bénéficie d’un repos hebdomadaire de 24 heures, qui s’effectue normalement le dimanche.

Cette durée doit s’ajouter aux heures de repos quotidien, soit 11 heures consécutives..

Pendant sa journée de travail, le prisonnier bénéficie de temps de pause d’une durée minimale de 20 minutes, toutes les 6 heures.

À noter

Le repos hebdomadaire peut être suspendu pour les détenus qui doivent effectuer des travaux urgents de sécurité dans l’établissement.

Dans ce cas, les détenus doivent bénéficier d’un repos compensateur d’une durée égale au repos supprimé.

Jours fériés

En principe, un prisonnier ne travaille pas les jours fériés.

Néanmoins, les personnes affectées sur un poste de travail nécessaire au bon fonctionnement de l’établissement pénitentiaire peuvent travailler durant les jours fériés.

Ce travail ne fait pas l’objet d’une majoration de la rémunération sauf s’il a eu lieu le 1er mai.

Dans ce cas, la rémunération du prisonnier est doublée par rapport à son salaire de base.

Durée du travail

La personne incarcérée est considérée comme effectuant un travail à temps partiel si la durée de son travail est inférieure à 35 heures par semaine ou à 1771 heures par an.

Dans le cadre d’un contrat à temps partiel, la durée minimale de travail est de 10 heures par semaine.

Il doit être prévu un temps nécessaire au repos, aux repas, à la promenade et aux activités éducatives et de loisirs.

Toute heure de travail au-delà de la durée prévue par le contrat d’emploi pénitentiaire à temps partiel est une heure complémentaire.

Le nombre d’heures complémentaires effectuées au cours d’un semaine ou d’un mois ne doit pas dépasser la moitié de la durée de travail hebdomadaire ou mensuelle prévue dans le contrat.

L’accomplissement d’une heure complémentaire donne droit à une majoration de la rémunération.

À savoir

En cas de mise en place d’un système d’aménagement des heures de travail, toute modification de la répartition de la durée de travail doit être portée à la connaissance de la personne incarcérée au moins 24 heures à l’avance.

Si ce délai n’est pas respecté, la personne incarcérée peut refuser d’effectuer les heures supplémentaires ou complémentaires qui lui ont été demandées d’accomplir.

Elle ne peut pas faire l’objet d’une sanction disciplinaire. Son contrat ne peut pas être rompu pour ce motif.

Repos

Sauf si le contrat d’emploi pénitentiaire prévoit une autre durée de repos, la personne incarcérée bénéficie d’un repos hebdomadaire de 24 heures qui s’effectue normalement le dimanche.

Cette durée doit s’ajouter aux heures de repos quotidien, soit 11 heures consécutives.

Pendant sa journée de travail, le prisonnier bénéficie de temps de pause d’une durée minimale de 20 minutes, toutes les 6 heures.

À noter

Le repos hebdomadaire peut être suspendu pour les prisonnier qui doivent effectuer des travaux urgents de sécurité dans l’établissement.

Dans ce cas, les détenus doivent bénéficier d’un repos compensateur d’une durée égale au repos supprimé.

Jours fériés

En principe, un prisonnier ne travaille pas les jours fériés.

Néanmoins, les détenus affectées sur un poste de travail nécessaire au bon fonctionnement de l’établissement pénitentiaire peuvent travailler durant les jours fériés.

Ce travail ne fait pas l’objet d’une majoration de la rémunération sauf s’il a eu lieu le 1er mai.

Dans ce cas, la rémunération du prisonnier est doublée par rapport à son salaire de base.

Le mineur incarcéré peut travailler à temps complet ou à temps partiel.

Durée du travail

La durée de travail pour un contrat à temps complet est de 35 heures par semaine et de 8 heures maximum par jour.

Les horaires de travail doivent prévoir le temps nécessaire au suivi d’une scolarité ou d’une formation professionnelle, au repos, aux repas, à la promenade et aux activités de loisirs.

Le mineur incarcéré ne peut pas effectuer d’heures complémentaires ou supplémentaires. La durée maximale de travail est égale à 35 heures par semaine.

Repos

Le mineur travaille 5 jours par semaine, en dehors du dimanche. Il bénéficie de 48 heures de repos consécutives par semaine.

Cette durée doit s’ajouter aux heures de repos quotidien, soit 12 heures consécutives.

Exemple

Le contrat d’emploi pénitentiaire peut prévoir que les jours de repos du mineur sont le dimanche et le lundi. Dans ce cas, le mineur ne travaillera pas du samedi soir au mardi matin.

Pendant sa journée de travail, le mineur bénéficie de temps de pause d’une durée minimale de 30 minutes, toutes les 4h30.

Jours fériés

Le mineur ne peut pas travailler les jours fériés.

Durée du travail

Le mineur incarcéré est considéré comme effectuant un travail à temps partiel si la durée de son travail est inférieure à 35 heures par semaine ou à 1771 heures par an.

Dans le cadre d’un contrat à temps partiel, la durée minimale de travail est de 10 heures par semaine.

Repos

Sauf si le contrat d’emploi pénitentiaire prévoit une autre durée de repos, le mineur bénéficie de 48 heures de repos consécutives par semaine.

Cette durée doit s’ajouter aux heures de repos quotidien, soit 12 heures consécutives.

Pendant sa journée de travail, le prisonnier bénéficie de temps de pause d’une durée minimale de 30 minutes, toutes les 4h30.

Jours fériés

Les mineurs ne peuvent pas travailler les jours fériés.

Les taux de rémunération sont portés à la connaissance des personnes incarcérées par voie d’affichage.

La rémunération versée mensuellement est calculée sur la base de la durée du travail fixée dans le contrat d’emploi pénitentiaire.

En cas de travail à temps partiel, la rémunération doit être proportionnelle à celle du détenu qui a la même qualification et qui travaille à temps complet auprès du même employeur.

Salaire

La salaire minimal horaire du travail accompli dans le cadre du contrat d’emploi pénitentiaire est de :

  • 5,35 € pour les activités de production

  • 3,92 € pour le service général, classe I

  • 2,97 € pour le service général, classe II

  • 2,38 € pour le service général, classe III.

Le détenu travailleur peut bénéficier de primes liées à la productivité ou à l’ancienneté ou toute autre prime à caractère exceptionnel de la part de la structure qui l’a embauché.

Rappel

L’accomplissement d’heures complémentaires ou supplémentaires entraîne une majoration de la rémunération.

Les rémunérations des détenus bénéficiant d’un contrat d’emploi pénitentiaire sont versées à l’établissement pénitentiaire, sauf si le juge de l’application des peines en a décidé autrement.

L’établissement pénitentiaire doit prélever les cotisations sociales, patronales et salariales avant d’approvisionner le compte nominatif de la personne incarcérée.

Paiement des éventuelles astreintes

La personne incarcérée peut bénéficier d’une indemnité d’astreinte pour les périodes où il n’a pas travaillé, mais a été disponible pour pouvoir accomplir une activité en cas de besoin.

Le montant de l’indemnité d’astreinte est de 4,80 € par jour ou par nuit, et de 71,60 € par semaine.

Le montant de l’indemnité horaire des interventions, pendant les périodes d’astreinte, est de 7,20 € pour une intervention effectuée un jour de semaine, et de 9,90 € pour une intervention effectuée une nuit.

Les indemnités d’astreinte du détenu travailleur sont plafonnées.

Elles ne peuvent pas dépasser le montant de 1 125 € par an.

À savoir

Le détenu travailleur qui effectue une astreinte peut aussi bénéficier d’une compensation en temps, qui est fixée de la manière suivante :

  • Astreinte de nuit : 2 heures

  • Astreinte de jour : 1 demi-journée

  • Astreinte d’une semaine complète : 1 journée et demi.

Protection sociale

La structure de travail doit prendre en charge les cotisations pour la retraite de la personne incarcérée.

Par ailleurs, le détenu a le droit à la réparation des accidents du travail et des maladies professionnelles.

Cependant, il ne peut pas bénéficier de la prime d’activité durant son incarcération.

La personne incarcérée a les mêmes droits que tout travailleur en matière d’hygiène et de sécurité.

La structure de travail doit respecter certaines obligations.

La médecine du travail et l’inspection du travail peuvent intervenir en prison.

Obligation de la structure chargée du travail

La structure chargée du travail en prison doit notamment :

  • Organiser des actions de prévention et d’information sur les risques professionnels

  • Faire en sorte que les lieux de travail soient propres et confortables (des sièges doivent être mis à la disposition des travailleurs)

  • Fournir les équipements de travail nécessaires et adaptés au poste (notamment les équipements de protection en cas d’emploi à risque)

  • Maintenir les installations de travail en bon état de fonctionnement

  • Respecter le principe de non-discrimination

  • Veiller à éviter tout acte de harcèlement sexuel ou moral (qui peut être favorisé en raison de la mixité des activités professionnelles).

Intervention de la médecine du travail

La médecine du travail intervient en prison afin d’assurer le suivi de l’état de santé de chaque prisonnier qui travaille.

Ce suivi prend la forme de visites d’information et de prévention qui ont pour objet :

  • D’interroger la personne détenue sur son état de santé

  • De l’informer sur les risques éventuels auxquels l’expose son poste de travail

  • De la sensibiliser sur les moyens de prévention à mettre en œuvre

  • De l’informer sur les moyens de suivi de son état de santé.

La première visite a lieu avant l’affectation de la personne incarcérée sur un poste de travail.

D’autres visites sont organisées tout au long de la relation de travail par le chef de l’établissement pénitentiaire. La durée entre chaque visite ne peut pas dépasser 5 ans.

À savoir

Les mineurs bénéficient d’une visite d’information et de prévention avant de débuter toute activité professionnelle ou de changer de poste de travail.

Intervention de l’inspection du travail

Les agents de l’inspection du travail peuvent intervenir en prison lorsqu’ils sont informés de potentiels manquements aux règles d’hygiène et de sécurité.

Leur intervention peut être sollicitée par le chef de l’établissement pénitentiaire.

Ils peuvent également prendre l’initiative de visiter une prison en raison de leurs échanges avec une personne incarcérée.

En effet, les personnes incarcérées peuvent échanger par courrier avec l’inspection du travail.

En principe, ces correspondances ne sont pas lues par l’administration pénitentiaire. Néanmoins, elles peuvent faire l’objet d’une vérification pour des raisons de sécurité.

À noter

Les coordonnées de l’inspection du travail peuvent être affichées au sein de l’établissement pénitentiaire. Il est également possible de les demander à un conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation (CPIP).

Pour mener leur enquête, les agents de l’inspection du travail peuvent accéder aux établissements pénitentiaires dans lesquels sont exercées des activités de travail.

Ils peuvent également demander toute information propre aux conditions de travail des prisonniers.

Après leur intervention, ils rendent un rapport au chef de l’établissement pénitentiaire.

S’ils ont constaté un manquement aux règles d’hygiène et de sécurité, ce rapport précisent des mesures pour remédier à la situation.

Dans les 2 mois suivants (15 jours en cas d’urgence), le chef de l’établissement pénitentiaire doit indiquer les mesures qui ont été prises et celles qu’il reste à prendre.

Sa réponse doit être accompagnée d’un calendrier de réalisation de ces mesures.

Les motifs pour lesquels la relation de travail peut prendre fin dépend de la nature du contrat d’emploi pénitentiaire ( CDI  ou  CDD ).

De manière générale, la relation de travail prend fin si les parties se sont mises d’accord ou si un évènement est intervenu au cours de la détention.

Le contrat d’emploi pénitentiaire peut également être rompu en cas d’insuffisance professionnelle du prisonnier, pour les besoins du service ou pour un motif économique.

La relation de travail peut prendre fin :

  • Si les 2 parties le souhaitent ou si la personne incarcérée en fait la demande

  • Lorsque la détention prend fin. Dans ce cas, le représentant de la structure de travail peut indiquer à la personne incarcérée, les emplois qu’il pourrait lui offrir à sa sortie de prison

  • En cas de transfert de la personne détenue dans un autre établissement pénitentiaire. Dans cette hypothèse, le prisonnier reste classé au travail

  • En cas de faute disciplinaire (par exemple, si la personne incarcérée a harcelé sexuellement un autre détenu).

Pour mettre fin à la relation de travail, la personne incarcérée ou la structure de travail envoie une demande écrite à l’autre partie.

Cette demande doit préciser les motifs qui justifient la rupture du contrat.

Si la personne incarcérée et la structure de travail sont d’accord, elles rédigent et signent un accord amiable qui indique les conditions de rupture du contrat.

Chaque partie en reçoit un exemplaire.

Si la personne incarcérée est à l’origine de la demande et que les parties n’ont pas trouvé d’accord, elle doit envoyer une lettre de rupture anticipée du contrat à la structure de travail.

Le contrat d’emploi pénitentiaire peut être rompu lorsque le prisonnier n’est pas apte à accomplir sa mission dans des conditions que la structure de travail peut raisonnablement attendre.

On parle alors d’insuffisance professionnelle .

Dans ce cas, la structure chargée du travail doit convoquer le prisonnier à un entretien préalable avant toute décision.

La convocation indique l’objet, la date et l’heure de l’entretien. Elle doit être adressée à la personne incarcérée par courrier.

L’entretien préalable doit avoir lieu au plus tôt 2 jours ouvrables après la notification de la convocation.

Au cours de l’entretien préalable, l’entreprise doit indiquer les motifs de la décision envisagée et recueillir les observations du détenu.

La résiliation du contrat d’emploi pénitentiaire est notifiée à la personne détenue sous la forme d’une lettre argumentée, au moins 1 jour ouvrable après la date de l’entretien préalable.

Le chef de l’établissement pénitentiaire peut résilier le contrat d’emploi pénitentiaire pour un motif lié aux besoins du service, c’est-à-dire :

  • Disparition des besoins du service ou suppression du poste qui a justifié la conclusion du contrat d’emploi pénitentiaire

  • Transformation des besoins du service ou du poste lorsque le prisonnier n’est pas en mesure de s’adapter à cette transformation

  • Refus du prisonnier de voir l’un des éléments essentiels de son contrat modifié (par exemple, modification de la durée de travail ou changement de poste de travail).

Dans ce cas, le chef de l’établissement pénitentiaire doit convoquer le prisonnier à un entretien préalable avant toute décision.

La convocation indique l’objet, la date et l’heure de l’entretien. Elle doit être adressée à la personne incarcérée par courrier.

L’entretien préalable doit avoir lieu au plus tôt 2 jours ouvrables après la notification de la convocation.

La résiliation du contrat d’emploi pénitentiaire est notifiée à la personne détenue sous la forme d’une , au moins 5 jours ouvrables après la date de l’entretien préalable.

Lorsque la structure de travail rencontre des difficultés économiques (par exemple : baisse durable du chiffre d’affaires), elle peut rompre le contrat d’emploi pénitentiaire des prisonniers qui travaillent pour elle.

La procédure varie en fonction du nombre de contrats d’emploi pénitentiaire résiliés sur une période de 30 jours.

La structure chargée du travail doit convoquer le prisonnier à un entretien préalable avant toute décision.

La convocation indique l’objet, la date et l’heure de l’entretien. Elle doit être adressée à la personne incarcérée par courrier.

L’entretien préalable doit avoir lieu au plus tôt 2 jours ouvrables après la notification de la convocation.

Au cours de l’entretien préalable, la structure doit indiquer les motifs de la résiliation et recueillir les observations de la personne incarcérée.

La résiliation du contrat d’emploi pénitentiaire est notifiée à la personne détenue sous la forme d’une lettre argumentée, au moins 5 jours ouvrables après la date de l’entretien préalable.

La structure de travail doit notifier les résiliations prononcées dans le mois à la direction interrégionale des services pénitentiaires.

La structure chargée du travail doit convoquer le prisonnier à un entretien préalable avant toute décision.

La structure de travail indique l’objet, la date et l’heure de la convocation dans un courrier adressé à la personne incarcérée.

Parallèlement, l’entreprise doit notifier le projet de résiliation à l’autorité administrative compétente (chef de l’établissement pénitentiaire ou direction interrégionale des services pénitentiaires).

L’entretien préalable doit avoir lieu au plus tôt 2 jours ouvrables après la notification de la convocation.

La résiliation du contrat d’emploi pénitentiaire est notifiée à la personne détenue au plus tôt 10 jours ouvrables après la notification du projet de résiliation à l’autorité administrative compétente.

La structure de travail doit préciser les motifs de cette résiliation.

Si le contrat d’emploi pénitentiaire est à durée déterminée, il doit être conclu pour une période minimale, qui varie en fonction du but poursuivi.

Il prend fin à la date qu’il fixe. Toutefois, dans certains cas, il est possible qu’il se termine avant cette date.

La date de fin du contrat d’emploi pénitentiaire peut correspondre à l’un des éléments suivants :

  • Fin d’absence de la personne remplacée

  • Fin d’accroissement temporaire de l’activité

  • Réalisation de la tâche pour lequel le contrat a été conclu.

De manière générale, la relation de travail prend fin si les parties se sont mises d’accord ou si un évènement est intervenu au cours de la détention.

Le contrat d’emploi pénitentiaire peut également être rompu en cas d’insuffisance professionnelle du prisonnier ou pour motif économique.

La relation de travail peut prendre fin avant la date fixée dans le contrat :

  • Si les 2 parties le souhaitent ou si la personne incarcérée en fait la demande

  • Lorsque la détention prend fin. Dans ce cas, le représentant de la structure de travail peut indiquer à la personne incarcérée, les emplois qu’il pourrait lui offrir à sa sortie de prison

  • En cas de transfert de la personne détenue dans un autre établissement pénitentiaire. Dans cette hypothèse, le prisonnier reste classé au travail

  • En cas de faute disciplinaire (par exemple, si la personne incarcérée a harcelé sexuellement un autre détenu).

Pour mettre fin à la relation de travail, la personne incarcérée ou la structure de travail envoie une demande écrite à l’autre partie.

Cette demande doit préciser les motifs qui justifient la rupture du contrat.

Si la personne incarcérée et la structure de travail sont d’accord, elles rédigent et signent un accord amiable qui indique les conditions de rupture du contrat.

Chaque partie en reçoit un exemplaire.

Si la personne incarcérée est à l’origine de la demande et que les parties n’ont pas trouvé d’accord, elle doit envoyer une lettre de rupture anticipée du contrat à la structure de travail.

Le contrat d’emploi pénitentiaire peut être rompu lorsque le prisonnier n’est pas apte à accomplir sa mission dans des conditions que la structure de travail peut raisonnablement attendre.

On parle alors d’insuffisance professionnelle .

Dans ce cas, la structure chargée du travail doit convoquer le prisonnier à un entretien préalable avant toute décision.

La convocation indique l’objet, la date et l’heure de l’entretien. Elle doit être adressée à la personne incarcérée par courrier.

L’entretien préalable doit avoir lieu au plus tôt 2 jours ouvrables après la notification de la convocation.

Au cours de l’entretien préalable, l’entreprise doit indiquer les motifs de la décision envisagée et recueillir les observations du détenu.

La résiliation du contrat d’emploi pénitentiaire est notifiée à la personne détenue sous la forme d’une lettre argumentée, au moins 1 jour ouvrable après la date de l’entretien préalable.

Lorsque la structure de travail rencontre des difficultés économiques (par exemple : baisse durable du chiffre d’affaires), elle peut rompre le contrat d’emploi pénitentiaire des prisonniers qui travaillent pour elle.

La procédure varie en fonction du nombre de contrats d’emploi pénitentiaire résiliés sur une période de 30 jours.

La structure chargée du travail doit convoquer le prisonnier à un entretien préalable avant toute décision.

La convocation indique l’objet, la date et l’heure de l’entretien. Elle doit être adressée à la personne incarcérée par courrier.

L’entretien préalable doit avoir lieu au plus tôt 2 jours ouvrables après la notification de la convocation.

Au cours de l’entretien préalable, la structure doit indiquer les motifs de la résiliation et recueillir les observations de la personne incarcérée.

La résiliation du contrat d’emploi pénitentiaire est notifiée à la personne détenue sous la forme d’une lettre argumentée, au moins 5 jours ouvrables après la date de l’entretien préalable.

La structure de travail doit notifier les résiliations prononcées dans le mois à la direction interrégionale des services pénitentiaires.

La structure chargée du travail doit convoquer le prisonnier à un entretien préalable avant toute décision.

La structure de travail indique l’objet, la date et l’heure de la convocation dans un courrier adressé à la personne incarcérée.

Parallèlement, l’entreprise doit notifier le projet de résiliation à l’autorité administrative compétente (chef de l’établissement pénitentiaire ou direction interrégionale des services pénitentiaires).

L’entretien préalable doit avoir lieu au plus tôt 2 jours ouvrables après la notification de la convocation.

La résiliation du contrat d’emploi pénitentiaire est notifiée à la personne détenue au plus tôt 10 jours ouvrables après la notification du projet de résiliation à l’autorité administrative compétente.

La structure de travail doit préciser les motifs de cette résiliation.

Mon titre H2 : Organisez votre contenu facilement

Les images et albums photos jouent un rôle clé dans la communication visuelle. Utilisez cette fonctionnalité pour partager des photos de vos événements, paysages urbains ou activités communautaires. Organisez vos albums par thème et laissez vos citoyens et visiteurs découvrir l’enrichissement de votre ville à travers des visuels captivants.

Dans cette section, vous pouvez intégrer des informations importantes concernant des événements locaux, des initiatives communautaires ou des projets municipaux. Que ce soit pour annoncer une nouvelle initiative environnementale ou pour informer sur les travaux en cours, le bloc texte est l’outil parfait pour communiquer de manière claire et concise.

Mon titre H3 : Mettez en avant vos visuels

Exemple d’album photo :

  • Album « Fête de la ville »
    • Photos des différents événements
    • Couverture des activités pour enfants et adultes
    • Moments forts capturés lors des cérémonies officielles

“Le progrès d’une ville ne se mesure pas seulement à ses infrastructures, mais à la qualité de vie qu’elle offre à ses citoyens.”

Maire de la Ville
Légende du tableau
COL 0 COL 1 COL 2 COL 3 COL 4
ADIPISCING Praesent lorem Consecutor Dolor sit amet 120 000
Praesent lorem Consecutor Dolor sit amet 120 000
ADIPISCING Praesent lorem Consecutor Dolor sit amet 120 000
ADIPISCING Praesent lorem Consecutor Dolor sit amet 120 000

Affichez des informations clés avec des encadrés

bloc encadré : Pour mettre en avant des informations essentielles. Ces éléments se distinguent visuellement pour attirer l’attention des utilisateurs et leur fournir les données cruciales en un coup d’œil.

bloc encadré secondaire : ils existent sous deux coloris.

bloc information

Ce bloc d’information permet de centraliser des informations cruciales et urgentes d’une manière claire et visible, pour que les citoyens puissent rapidement prendre connaissance des actions ou mesures en cours. Le logo peut être personnalisé.


Le bloc télécharger vous permet de mettre à disposition de vos internautes, des documents, sous différents formats

bloc télécharger

Titre h2

Titre h3

Titre h4

Titre h5
Titre h6

Les vidéos sont des vidéos embarquées. Cela permet de ne pas alourdir la page de contenu. Attention cependant, si vous mettez une vidéo à l’intérieur d’un accordéon, alors vous ne pourrez pas utiliser d’accordéon pour y placer la transcription textuelle.

Vidéo Dailymotion

Vidéo Youtube

Vidéo Vimeo

Test1

Contact 100%

Organigramme

Sondage 100%

alt 1920х1080

Les sondages vous permettent de recueillir l’avis de vos citoyens rapidement et efficacement, pour mieux répondre à leurs attentes.

Ces sondages permettent, une fois le vote effectué, de visualiser en direct le résultat et le taux de participation, si vous choisissez ces options.

Nous souhaitons connaître votre avis sur l’avenir de notre bibliothèque municipale. Cet espace est un lieu de culture, de partage et d’apprentissage, mais il évolue constamment pour mieux répondre aux besoins de notre communauté.

Afin de garantir que notre bibliothèque continue à être un endroit pertinent et agréable pour tous, nous avons lancé ce sondage. Vos réponses nous permettront de mieux comprendre vos attentes, vos idées et vos priorités pour l’avenir de cet espace essentiel de notre ville.

Plus bas, le menu des sous-pages permet d’accéder aux pages de niveau inférieur, directement liées à cette page principale.

Image plein écran, taille maximale

Image plein écran, taille maximale

Les blocs structure vous permettent, tout comme les blocs contacts, de faire remonter des fiches annuaires, notamment, des fiches d’écoles, ou de structures sportives ect. Cela vous permet de créer une seule fois cette fiche, puis de faire appel à celle ci comme ci-contre ou dans d’autres contenus. Si une modification est à apporter, elle ne le sera qu’une fois et s’opérera dans tous les contenus où elle est appelée.

Découvrir

Bloc Onglet: Activités proposées

Profitez de notre bassin pour une séance de nage libre, que vous soyez débutant ou nageur confirmé. Un moment idéal pour se détendre ou faire de l’exercice.

Rejoignez nos cours d’aquagym pour tonifier votre corps en toute sécurité. Des exercices variés dans l’eau pour travailler l’endurance et la souplesse.

Des séances adaptées aux tout-petits et à leurs parents pour initier les enfants à l’eau dans une atmosphère ludique et bienveillante.

Onglet sans bordures : Tarifs

  • Adulte (16 ans et plus) : 5,00 €
  • Enfant (de 5 à 15 ans) : 3,00 €
  • Moins de 5 ans : Gratuit
  • Tarif réduit (étudiants, seniors, personnes handicapées) : 4,00 €

  • Adulte : 35,00 €
  • Enfant : 20,00 €
  • Famille (2 adultes + 2 enfants) : 80,00 €

Onglets verticaux : Tarifs par activité

  • Cours individuel (1h) : 25,00 €
  • Cours collectif (1h) : 15,00 €
  • Pack de 10 cours : 130,00 €

  • Séance (accompagné d’un adulte) : 8,00 €
  • Carte de 10 séances : 70,00 €

  • Séance à l’unité : 10,00 €
  • Abonnement mensuel (3 cours/semaine) : 40,00 €
  • Carte de 10 séances : 90,00 €

Onglets Verticaux sans bordures

Magna aute reprehenderit commodo est minim anim ut aliquip ullamco eu magna laborum. Minim consectetur in exercitation consequat qui eiusmod laboris dolor sunt ipsum.

Nulla amet est consectetur elit incididunt laborum et adipisicing cupidatat reprehenderit quis mollit. Et anim labore culpa laborum excepteur consequat. Pariatur velit dolore ullamco cupidatat id qui tempor ullamco eu est mollit eiusmod eiusmod deserunt.


Organigramme


Localiser

Lorsque la carte est sélectionnée au clavier, vous pouvez utiliser les touches + et − du clavier pour effectuer un zoom avant ou arrière, ainsi que les touches haut, bas, droite et gauche du clavier pour déplacer la carte.

Localiser

Lorsque la carte est sélectionnée au clavier, vous pouvez utiliser les touches + et − du clavier pour effectuer un zoom avant ou arrière, ainsi que les touches haut, bas, droite et gauche du clavier pour déplacer la carte.

Publications 100%

Publications 70%

Publications 30%

Télécharger

  • Excepteur anim aliqua irure laborum qui minim ut ut voluptate. Amet consectetur proident commodo esse veniam cupidatat ullamco irure fugiat.

  • Aliqua mollit sunt esse reprehenderit labore cupidatat qui ea quis mollit qui elit anim elit. Aliquip deserunt adipisicing minim commodo aliquip ullamco elit consequat minim eu culpa fugiat.

    Télécharger
  • Excepteur anim aliqua irure laborum qui minim ut ut voluptate. Amet consectetur proident commodo esse veniam cupidatat ullamco irure fugiat.

  • Aliqua mollit sunt esse reprehenderit labore cupidatat qui ea quis mollit qui elit anim elit. Aliquip deserunt adipisicing minim commodo aliquip ullamco elit consequat minim eu culpa fugiat.

  • Elit quis minim adipisicing eu eu eu exercitation excepteur. Nisi ut ad sint sint amet labore.

  • Ut ex pariatur velit labore nulla. Duis minim reprehenderit sit consectetur reprehenderit exercitation deserunt ullamco tempor.

  • Nulla laborum esse reprehenderit adipisicing eu enim ex magna nostrud. Labore Lorem elit reprehenderit nisi anim.

  • Veniam mollit fugiat in sint est dolor eiusmod proident commodo enim nulla irure aliqua exercitation. Adipisicing et irure eiusmod fugiat veniam laboris amet aute dolor elit aliquip excepteur.

  • Mollit sit non cillum minim duis. Fugiat consectetur esse consectetur elit sit sint voluptate adipisicing sit.

  • test mp4

    Télécharger

Télécharger

  • Excepteur anim aliqua irure laborum qui minim ut ut voluptate. Amet consectetur proident commodo esse veniam cupidatat ullamco irure fugiat.

  • Aliqua mollit sunt esse reprehenderit labore cupidatat qui ea quis mollit qui elit anim elit. Aliquip deserunt adipisicing minim commodo aliquip ullamco elit consequat minim eu culpa fugiat.

    Télécharger
  • Excepteur anim aliqua irure laborum qui minim ut ut voluptate. Amet consectetur proident commodo esse veniam cupidatat ullamco irure fugiat.

  • Aliqua mollit sunt esse reprehenderit labore cupidatat qui ea quis mollit qui elit anim elit. Aliquip deserunt adipisicing minim commodo aliquip ullamco elit consequat minim eu culpa fugiat.

  • Elit quis minim adipisicing eu eu eu exercitation excepteur. Nisi ut ad sint sint amet labore.

  • Ut ex pariatur velit labore nulla. Duis minim reprehenderit sit consectetur reprehenderit exercitation deserunt ullamco tempor.

  • Nulla laborum esse reprehenderit adipisicing eu enim ex magna nostrud. Labore Lorem elit reprehenderit nisi anim.

  • Veniam mollit fugiat in sint est dolor eiusmod proident commodo enim nulla irure aliqua exercitation. Adipisicing et irure eiusmod fugiat veniam laboris amet aute dolor elit aliquip excepteur.

  • Mollit sit non cillum minim duis. Fugiat consectetur esse consectetur elit sit sint voluptate adipisicing sit.

  • test mp4

    Télécharger

Télécharger

  • Excepteur anim aliqua irure laborum qui minim ut ut voluptate. Amet consectetur proident commodo esse veniam cupidatat ullamco irure fugiat.

  • Aliqua mollit sunt esse reprehenderit labore cupidatat qui ea quis mollit qui elit anim elit. Aliquip deserunt adipisicing minim commodo aliquip ullamco elit consequat minim eu culpa fugiat.

    Télécharger
  • Excepteur anim aliqua irure laborum qui minim ut ut voluptate. Amet consectetur proident commodo esse veniam cupidatat ullamco irure fugiat.

  • Aliqua mollit sunt esse reprehenderit labore cupidatat qui ea quis mollit qui elit anim elit. Aliquip deserunt adipisicing minim commodo aliquip ullamco elit consequat minim eu culpa fugiat.

  • Elit quis minim adipisicing eu eu eu exercitation excepteur. Nisi ut ad sint sint amet labore.

  • Ut ex pariatur velit labore nulla. Duis minim reprehenderit sit consectetur reprehenderit exercitation deserunt ullamco tempor.

  • Nulla laborum esse reprehenderit adipisicing eu enim ex magna nostrud. Labore Lorem elit reprehenderit nisi anim.

  • Veniam mollit fugiat in sint est dolor eiusmod proident commodo enim nulla irure aliqua exercitation. Adipisicing et irure eiusmod fugiat veniam laboris amet aute dolor elit aliquip excepteur.

  • Mollit sit non cillum minim duis. Fugiat consectetur esse consectetur elit sit sint voluptate adipisicing sit.

  • test mp4

    Télécharger

Titre h1

Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been the industry’s standard dummy text ever since the 1500s, when an unknown printer took a galley

Ce contenu vous a-t-il été utile ?